Guide de la recherche documentaire dans le web scientifique libre

MISE À JOUR EN octobre 2018 (suggestions et commentaires toujours bienvenus pour améliorer le guide)

Comment bien exploiter la richesse documentaire du web scientifique libre, c’est-à-dire les millions d’articles scientifiques, de thèses et de mémoires qui sont en ligne et accessibles à tous? Rares sont les étudiants et étudiantes d’Afrique ou d’Haïti qui bénéficient d’une formation solide dans ce domaine. Avoir un ordinateur avec un bon logiciel de navigation et une bonne connexion stable sont des conditions nécessaires pour effectuer une recherche documentaire, mais elles ne sont pas suffisantes. Il faut aussi une bonne méthode de travail et de stockage des références trouvées, ainsi qu’une stratégie utilisant de manière optimale les puissants moteurs de recherche existants. Ce guide propose une démarche en huit étapes pour apprendre à bien exploiter les millions de ressources scientifiques en libre accès, notamment en français, sur le web. Cette démarche évite les bases de données payantes des éditeurs commerciaux et encourage les étudiants et étudiantes à faire preuve de justice cognitive dans le choix de leurs références bibliographiques.

Puisque cette page est sous licence Creative Commons 4.0 (comme tout le site), vous pouvez télécharger la version PDF de ce guide ou en copier le contenu dans le site de votre bibliothèque, afin qu’il soit le plus accessible possible. La licence Creative Commons 4.0 non seulement vous permet d’utiliser un document sans avoir à demander de permission aux auteurs, mais encourage la réutilisation et la modification, à condition de renvoyer vers la page d’origine.

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À noter que plusieurs des sites proposés ont une interface en anglais. Mais les mots de base à reconnaître sont simples : Search veut dire  « Recherche », Author veut dire « Auteur », Title veut dire « Titre ». Utilisez au besoin le site Google translate pour les mots incompréhensibles.

Métaphore agricole : Imaginons que le web scientifique est un immense champ rempli de céréales très variées, mais que vous ne voulez que du blé ou du mil (certains documents) pour créer votre festin – votre texte (Étape 1 ci-dessous). Vous devrez donc moissonner seulement le blé et le mil (Étape 3). Pour y réussir, vous devrez guider votre moissonneuse (BASE ou Google Scholar) vers ce que vous voulez dans le champ : c’est le rôle des mots clés (Étape 2). Lorsque votre moisson sera faite, lorsque votre recherche documentaire aura identifié de nombreux textes en libre accès, vous devrez les entreposer, car vous ne pourrez pas tout lire tout de suite, tout consommer tout de suite. Vous devrez donc vous construire un grenier : c’est le rôle que joue le logiciel Zotero (gestion bibliographique) (Étape 3). Avec l’aide de ce que contient votre grenier-bibliothèque Zotero, vous pourrez ajouter des références bibliographiques à votre texte : c’est ce qui lui donnera sa saveur scientifique. Le festin se terminera alors sur une bibliographie parfaitement formatée à l’aide des extraordinaires capacités de rangement de votre grenier. Mais si la récolte ne vous satisfait pas, si vous n’avez obtenu que des grains tous semblables et plutôt chétifs (Étape 4), alors vous ferez un effort pour explorer vous-même, à pied, certaines sections du champ, certaines bases de données, en utilisant leur propre moissonneuse – outil de recherche (Étape 5). Si certains épis de blés ne sont pas accessibles avec votre moissonneuse alors que vous en avez vraiment besoin pour votre festin, vous irez chercher d’autres outils (Étape 6) : unpaywall, Icanhazpdf et même sci-hub.  Pour varier les goûts, les épices et les saveurs de votre festin, vous ajouterez des ingrédients nouveaux, mais très appréciés (Étape 7). Et parce que vous voulez que votre grenier reste toujours bien rempli, vous irez souvent vous promener dans votre champ pour repérer de nouveaux épis appétissants et les moissonner (Étape 8).

Étape 1. Délimitez votre sujet

Vous voulez faire une recherche documentaire sur un thème précis? Il existe de nombreuses ressources éducatives libres (REL) qui peuvent vous donner une idée générale d’un sujet et des textes introductifs très utiles pour comprendre un domaine de recherche ou d’études. Pour une liste de ressources éducatives libres, voir par exemple l’inventaire de FACIL : http://wiki.facil.qc.ca/view/Ressources_%C3%A9ducatives_libres

L’encyclopédie collaborative Wikipédia est une ressource éducative libre qui offre une excellente porte d’entrée sur un sujet, à condition de ne pas s’y limiter. Les références et les notes externes qui s’y trouvent peuvent signaler certains auteurs ou certaines auteures d’importance, pour lesquels vous pouvez faire une recherche plus complète ensuite dans les bases de données décrites ci-dessous.

Les conseils de collègues, d’amis, du personnel enseignant sont ici très précieux.

Étape 2 : Choisissez vos mots-clés

À partir de ce premier aperçu, il est essentiel de bien choisir une combinaison de mots-clés qui décrivent votre thème de recherche et qui sera votre guide pour la recherche documentaire.

Attention! Plus vos combinaisons contiendront de mots-clés et plus votre recherche sera pointue, moins vous mettrez de mots-clés et plus elle sera large. Trois mots-clés est un nombre idéal. Si vos mots-clés sont en français, les résultats seront en français et ainsi de suite selon les langues. Préparez au besoin plusieurs combinaisons de mots-clés à tester successivement.

Sélectionnez des mots au singulier, précis et clairs et non des phrases ou des périphrases. Attention à ne pas mettre deux mots synonymes : le moteur de recherche cherchera alors des textes qui contiennent les deux mots, ce qui est plus rare. Ne mettez aucun petit mot de liaison tels que « et », « de », « pour », etc., car le moteur de recherche les comptera comme des mots à chercher.

Voici ces deux sites que vous pouvez utiliser pour identifier les mots-clés utilisés dans les bibliothèques universitaires :

Choisissez aussi des noms d’auteurs ou d’auteures qui vous semblent importants.

Étape 3. Utilisez les puissants moteurs de recherche qui parcourent le web scientifique pour identifier des ressources documentaires et les télécharger ou les mémoriser

Avant de faire la recherche documentaire, prévoyez où et comment vous allez conserver l’adresse de la page web de l’article génial que vous venez de trouver ou même sa version PDF. Nous vous recommandons très fortement d’utiliser le logiciel libre et gratuit de gestion bibliographique Zotero (http://zotero.org) qui accueille d’un clic les références web et permet de les classer avec des mots-clés et des notes, et de les utiliser pour faire une bibliographie impeccable dans un fichier Word ou Libre office. Zotero vous permet aussi de faire des fiches de lecture et de partager vos références avec un groupe de travail. Mais vous pouvez aussi stocker ces adresses dans vos favoris ou dans d’autres outils web comme Pearltrees. L’important est que vous vous y retrouviez.

Lancez une première recherche documentaire en inscrivant une combinaison de mots-clés dans la fenêtre « Rechercher » ou « Search » d’un moteur de recherche spécialisé. Si les résultats ne sont pas satisfaisants, essayez avec une autre combinaison de mots-clés.

Il existe désormais de nombreux moteurs de recherche permettant de trouver et télécharger des articles en libre accès.

Nous vous recommandons aussi le moteur de recherche Base-Search (http://www.base-search.net/) qui a la particularité de privilégier les ressources en libre accès si vous cochez la case à cet effet sur sa page d’accueil. La page Help (en anglais) de ce site peut vous aider à bien formuler votre requête dans ce moteur de recherche qui moissonne à partir de plus de 6200 sources et archives en libre accès représentant plus de 125 millions de documents (environ 60 % en accès libre) en date de mars 2018. En sciences humaines et sociales en français, le moteur de recherche Isidore parcourt près de 4 millions de documents en libre accès : https://isidore.science/.

Le moteur de recherche CORE (https://core.ac.uk/), dont la page d’accueil est seulement en anglais, travaille partir d’une base de 135 millions d’articles (en octobre 2018).  Il existe aussi 1findr (https://1findr.1science.com/home/) qui fait des recherches à partir d’une base de données de 90 millions d’articles et de documents en libre accès (en date d’octobre 2018), mais qui appartient à un éditeur à but lucratif.

Le moteur de recherche le plus connu et le plus puissant est Google Scholar (https://scholar.google.com). Il « trouve » des ressources payantes, mais aussi des ressources libres et accessibles. En fait, votre première recherche vous donnera probablement des milliers de références qui ne sont pas nécessairement en libre accès à première vue. Pour trouver la version en libre accès d’un article qui semble inaccessible, il faut parfois aller jusqu’à lire les 10 ou 20 premières pages des résultats de votre requête Google Scholar.

Astuce : pour chaque référence identifiée par Google Scholar, explorez les différentes « versions » en cliquant sur ce mot juste en-dessous de la référence qui vous intéresse : l’une d’elle est peut-être en libre accès.

Ce que vous trouverez dans Google Scholar pourra être :

  • un résumé d’un article renvoyant à une page web (html)
  • le résumé et l’article intégral
  • une citation
  • une fiche décrivant un livre

Vous n’y trouverez pas de sites web : ce type de résultats provient d’une recherche lancée sur Google ou tout autre moteur de recherche généraliste.

TRUC : il existe des API ou extensions web qui vérifient si l’article trouvé est disponible en libre accès intégral quelque part sur le web : Lazy scholar (http://www.lazyscholar.org/), le bouton open access (https://openaccessbutton.org/) ou Unpaywall (https://unpaywall.org/) qui s’ajoute directement à Firefox ou à Chrome. Quand un résumé d’article ou une fiche bibliographique s’affiche sur votre écran, un petit symbole vous indique si une version en accès libre de ce texte existe sur le web scientifique et vou spermet de l’obtenir. Attention : ce type d’API peut évoluer rapidement ou être remplacé par un autre.

TRUC : vous pouvez transformer vos mots-clés en alerte Google (cliquez sur « Créer une alerte » au bas de la page des résultats Google Scholar). Vous recevrez un message mail chaque fois que votre mot-clé génèrera un courriel dans les années  à venir…

Étape 4. Analyser les résultats de ces recherches

Lisez rapidement les articles et autres documents que vous avez « moissonnés » : lisez en particulier le résumé, l’introduction et la conclusion pour déterminer si l’ensemble de l’article va vous être utile. Si c’est le cas, n’oubliez pas de le ranger dans votre grenier Zotero et de le télécharger ou de le copier-coller dans un fichier sur votre disque dur (si la connexion est mauvaise).

Si l’article est en anglais, vous pouvez le copier et le coller dans un traducteur gratuit : DeepL pour traduire en français et Google translate pour les autres langues.

Au nom de la justice cognitive, vérifiez que les textes que vous avez retenus représentent ÉQUITABLEMENT les travaux des hommes et des femmes et ceux des chercheuses et des chercheurs des pays du Nord et des pays des Suds. Les textes africains qui ne reposent que sur des références françaises ou du Nord ne font que perpétuer l’aliénation épistémique que combat la science ouverte juste (voir le livre en libre accès Justice cognitive, libre accès et savoirs locaux (Piron, Regulus et Dibounje Madiba 2016).

Rappel : les ressources scientifiques ne sont sur le web que si quelqu’un les a déposées. Si personne ne pense à numériser et mettre en ligne des documents imprimés, ils seront introuvables sur le web. Mais de plus en plus de documents sont numérisés par des bibliothèques, des universités, donc ça vaut la peine de bien fouiller le web scientifique!

Si vous estimez que vos trouvailles ne sont pas assez nombreuses, vous pouvez approfondir vos recherches avec d’autres combinaisons de mots-clés ou en consultant des bases de données ou des répertoires plus spécialisés présentées ci-dessous.

Étape 5. Approfondir la recherche dans des bases de données spécifiques

Pour affiner vos recherches, vous pouvez aller dans des bases de données scientifiques en libre accès, qu’il s’agisse de plateformes de revues scientifiques ou d’archives numériques universitaires. À noter que ces sources sont en général compilées dans les moteurs de recherche World Wide Science, BASE-search et Google Scholar présentés ci-dessus.

Les portails de ces bases de données sont souvent en anglais, mais si vous mettez des mots-clés en dans une autre langue, vous aurez accès à leur contenu dans cette langue. Cherchez le mot « SEARCH » dans la page d’accueil de ces sites et inscrivez vos mots-clés.

Il existe aussi de nombreuses archives numériques disciplinaires que vous pouvez explorer :

Le palmarès des archives numériques permet de repérer des archives intéressantes selon votre sujet de recherche : http://repositories.webometrics.info/en/top_portals

Finalement, il existe plusieurs réseaux sociaux scientifiques privés (à but lucratif) qui offrent à leurs membres de diffuser des articles intégraux en libre accès : academia.edu ou researchgate.net. Notez qu’il faut devenir membre de ces réseaux pour y accéder et que les textes que vous y déposez appartiennent à ces réseaux, car ce ne sont pas des archives institutionnelles publiques : ces réseaux pourraient les vendre… Récemment, ces réseaux ont été menacés de poursuite s’ils laissaient en ligne des textes intégraux en libre accès non autorisés par l’éditeur (http://www.sciencemag.org/news/2017/10/publishers-take-researchgate-court-alleging-massive-copyright-infringement).

Étape 6. Pas assez de résultats?

Si vous ne trouvez toujours pas assez de références scientifiques en libre accès pour votre étude, vous pouvez :

  • Essayez de contacter par courriel les auteurs ou auteures de textes qui ne sont pas en libre accès ou qui semblent ne pas avoir été numérisés ou mis en ligne, ou dont vous avez trouvé le résumé dans des bases de données payantes (CAIRN, Web of Science ou SCOPUS). Vous leur demandez alors de vous envoyer leur article par courriel. Les auteurs et auteures acceptent très souvent de le faire, car ils et elles apprécient qu’on souhaite lire et utiliser leurs travaux. Certaines archives ouvertes comportent un « bouton » qui permet d’envoyer automatiquement une demande à l’auteur ou l’auteure d’un texte non libre.
  • Demandez le texte sur Twitter en ajoutant le mot-clic (hashtag) #icanhazpdf à la référence que vous cherchez.
  • Demandez à votre bibliothèque de se procurer le livre ou la revue qui vous intéresse.
  • Le site privé pirate sci-hub (http://sci-hub.tw/) offre plus de 70 millions d’articles scientifiques en libre accès, téléchargés illégalement, mais disponibles si vous inscrivez l’adresse de l’article . Vous pouvez aussi utiliser Library Genesis (Libgen) à http://libgen.io/. Cette page (http://adrien-chopin.weebly.com/free-scientific-academic-articles.html) propose les liens vers les différents serveurs de sci-hub et de libgen, tout comme https://whereisscihub.now.sh et https://www.novoprolabs.com/support/articles/a-secret-link-when-sci-hub-is-not-working-201606101263.html.

Étape 7. Diversifiez vos sources

Au nom de la justice cognitive, n’hésitez pas à aller au-delà des bases de données scientifiques pour vous ouvrir aux BLOGS, DIAPORAMAS, VIDÉOS, ARCHIVES PATRIMONIALES, CARTES HEURISTIQUES, RESSOURCES PÉDAGOGIQUES, etc.

  • Explorez les blogs de science qui proposent souvent des résumés d’articles ou des réflexions très pertinentes pour vous guider parmi les publications, par exemple sur les sites http://hypotheses.org, Agence science-presse (http://sciencepresse.qc.ca), café des sciences (http://www.cafe-sciences.org/), Découvrir (http://www.acfas.ca/publications/decouvrir). Il existe des milliers de blogs scientifiques en anglais (par exemple, http://scienceblogs.com/) qui résument ou discutent des articles scientifiques. Sur les logiciels libres, le blog du projet PLUME est rempli d’informations utiles : https://projet-plume.org/
  • Explorez les présentations powerpoint en libre accès et sous licence Creative Commons sur Slideshare (http://slideshare.net) ou http://prezi.net. Même sans les réutiliser, vous pouvez les citer comme s’il s’agissait d’un texte scientifique. Sur ces sites, vous pouvez identifier les auteurs et auteures d’excellentes présentations sur votre sujet et chercher ensuite leurs publications selon la méthode ci-dessus.
  • Toujours avec vos mots-clés, explorez les vidéos scientifiques sur YouTube, Vimeo, Daily motion ou sur des sites scientifiques comme Canal-U, la vidéothèque de l’enseignement supérieur français, qui regroupe des milliers de conférences scientifiques en libre accès (http://www.canal-u.tv/) ou Universcience, la webtv scientifique (http://www.universcience.tv/).
  • Explorez aussi les « cartes conceptuelles » (mindmap) partagées en libre accès sur des sites tels que Framindmap, un logiciel libre, ou FreeMind.
  • Explorez les médias socio-numériques comme Scoop.it, Pearltrees, Netvibes, Feedly qui font de la « curation » du web, c’est-à-dire qui permettent à des personnes de sélectionner de bons articles ou billets sur des thèmes précis et de les rassembler sur une page web.
  • Explorez les ensembles de données de recherche ouvertes, accessibles en libre accès sur les plateformes Mendeley (Mendeley.com), Figshare (Figshare.com) ou Zenodo (zenodo.org). Il peut s’y trouver des données que vous pourrez utiliser pour comparer, tester, approfondir, etc.
  • Explorez les inventaires de savoirs locaux ou traditionnels présentés sous forme d’archives numériques comme Traditional Knowedge Digital Library en Inde.
  • Lisez le contenu de ressources pédagogiques variées, par exemple à l’aide du moteur de recherche français sur les ressources pédagogiques : http://www.sup-numerique.gouv.fr/pid33288/moteur-des-ressources-pedagogiques.html ou le portail de l’AUF IDneuf : http://www.idneuf.org/. En anglais, le site Open culture (http://www.openculture.com/) contient des ressources très nombreuses dans tous les domaines de la culture.

Étape 8. Restez toujours à jour

  • Constituez une série pertinente d’alertes Google Scholar qui vous préviendront de nouvelles publications en lien avec vos mots-clés.
  • Explorez fréquemment les bibliographies des textes que vous lisez. Sélectionnez des titres et des auteurs intéressants et cherchez-les dans Google Scholar, BASE et World Wide Science. Testez de nouvelles combinaisons de mots-clés.
  • Consultez ce site qui diffuse les tables des matières des périodiques scientifiques en accès libre : http://www.journaltocs.hw.ac.uk/
  • Abonnez-vous sur Twitter et Facebook aux revues et aux blogs qui vous intéressent le plus : vous serez au courant des dernières publications.
  • Abonnez-vous par mail à des infolettres de revues scientifiques ou de centres de recherche qui vous intéressent.
  • Formez des réseaux et des communautés de recherche pour partager des références et des  bibliographies.

Ressources supplémentaires

Pour compléter ce guide, envoyez vos suggestions!

Page préparée par Florence Piron (florence.piron@com.ulaval.ca), avec des suggestions de Célya Gruson-Daniel, Olivier Charbonneau, Thomas Mboa Nkoudou, Sophie Dibounje Madiba, Émilie Tremblay, Joachim Schöpfel, Bernard Pochet, Marin Dacos, Émilie Paget et plusieurs membres des listes de discussion Accès ouvert et GOAL. Envoyez vos suggestions!

Pour citer :

Piron, Florence 2018 « Guide de la recherche documentaire dans le web scientifique libre », en ligne sur le site du projet SOHA, http://www.projetsoha.org/?page_id=1040.

ou

Piron, Florence 2016. « La recherche documentaire dans le web scientifique libre : un guide en huit étapes ». In Justice cognitive, libre accès et savoirs locaux. Pour une science ouverte juste au service développement local durable, sous la direction de Florence Piron, Samuel Regulus et Marie Sophie Dibounje Madiba. Québec, Éditions science et bien commun. En ligne à https://scienceetbiencommun.pressbooks.pub/justicecognitive1

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